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Lancienne colonie pénitentiaire de Belle-Ile-en-Mer (Morbihan) fait partie des 18 nouveaux sites retenus, cette mi-mars 2022, par la Mission patrimoine, portée par Stéphane Bern. 14/03
Mot"Belle" Mer 31 Mai - 9:41 par manumanu55: RECAP. Patricia Kaas - il me dit que je suis belle claude francois - belles belles belles Luis Mariano - La belle de Cadix Marc Lavoine et catherine Ringer - Qu'est ce que t'es belle (5) notre dame de paris - belle Cabrel - Rosie michel fugain - un beau roman Voulzy - Belle-Ile-en-Mer tino rossi - petit papa noel (10) Maxime
Quils soient nés sur le sol français à l'image de Claude Monet ou Jean Cocteau, ou l'on choisit comme terre d'accueil et d'inspiration à l'instar de Joséphine Baker et Vincent Van Gogh, nombreux sont les talents qui ont été domiciliés dans l'Hexagone. Dix immanquables lieux de vie ayant appartenu à des icônes et ouverts hors temps de pandémie !
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Leprêtre, arrivé à Belle-Île-en-Mer en août 2020, a l’habitude d’innover question intentions de prière : Freddie Mercury, Joséphine Baker, les frères Bogdanov ou encore Desmond Tutu C’est
LaurentVoulzy se souvient du jour où il a chanté pour la première fois Belle-Île-en-Mer, Le chanteur a aussi récemment milité pour la
PERIGORDNOIR, LES MILANDES, SUR LES TRACES DE Joséphine BAKER. château de Castelnau. François de Caumont est aussi seigneur de Tonneins et de nombreuses places. . Las, en 1968, criblée de dettes, Joséphine Baker est obligée de vendre ses biens à la bougie à Bergerac. Et, le 15 mars 1969, elle est littéralement jetée dehors par le
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Au lendemain des funérailles de la reine du music hall, Danièle Heymann lui rendait hommage dans les colonnes de L'Express. Du dernier spectacle de la célèbre meneuse de revue aux questions financières délicates qui accompagnaient son décès soudain, la journaliste n'éludait aucun aspect des adieux à la scène de Joséphine Baker. Dans L'Express du 21 avril 1975 Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement La succession de Joséphine Baker"Le dernier hommage que l'on puisse rendre à une belle aventure, écrit Danièle Heymann, n'est-il pas de raconter la vérité ? La voici..." On dit qu'elle est morte comme Molière. Non. Joséphine Baker est morte mieux que Molière, le samedi 12 avril, au petit matin, à l'hôpital de la Salpêtrière, à Paris. De cet hôpital, de l'ambulance qui l'y a transportée, de ce ballet de la dernière chance dansé par des médecins, elle n'aura rien su. Le mercredi précédent, à 9 heures du soir, elle était en scène, à Bobino, couronnée de plumes d'oiseau de paradis, savourant chaque instant d'une victoire qu'elle n'espérait plus. A l'entracte, elle avait dit "Après le spectacle, emmenez-moi chez Michou, il paraît qu'il y a un travesti très drôle qui m'imite. Je veux le voir". On l'avait suppliée de se reposer. Elle avait accepté, et avait soupé gaiement, en face, à la Baratte, d'un plat de spaghetti bolognaise arrosé de bière bien fraîche. La famille arc-en-ciel La veille, la princesse de Monaco avait présidé le gala qui célébrait ses noces d'or avec le succès. Au souper qui suivit, à l'hôtel Bristol, elle avait serré des mains jusqu'à l'aube, moulée dans une robe de mousseline grège, dans laquelle elle repose... Non, Joséphine Baker, à 69 ans, n'est pas morte d'épuisement ni des conséquences d'un régime amaigrissant, mais peut-être, tout simplement, de bonheur. Le mercredi, dans la nuit, elle rentre donc se coucher, avenue Paul-Doumer. Le jeudi, à 16 heures, elle a rendez-vous avec un journaliste, Victor Franco. Elle n'est pas au rendez-vous. Du sommeil, elle a, sans douleur, plongé dans le coma, et du coma, quarante-huit heures plus tard, elle glissera, en douceur, vers la mort. Le cortège funèbre de Joséphine Baker passe devant le théâtre de Bobino, le 15 avril 1975 à Baker a eu des obsèques nationales. Douze mille personnes l'ont accompagnée. Le cortège s'est arrêté devant le fronton illuminé et les grilles fermées de Bobino, "le théâtre de la chanson et du rire". A la Madeleine, l'attendaient les drapeaux, les ministres, le général d'armée Alain de Boissieu, grand chancelier de l'Ordre de la Légion d'honneur, la princesse Grace de Monaco, Sophia Loren, Jo Bouillon, devenu restaurateur à Buenos Aires, et dont elle vivait séparée depuis 1957, deux de ses douze enfants adoptifs, cette "famille arc-en-ciel" qui fut son rêve et qui fut sa douce ruine. "Petite-fille d'esclaves..."Il y avait la foule, aussi. Dans cette foule, une vieille dame noire qui pleurait, et disait "Je n'aurais jamais cru qu'une femme de couleur puisse être enterrée à Paris comme une reine." C'était la soeur de Joséphine, Mme Margaret Wallace. Le chanoine Thorel, curé de la Madeleine, est monté en chaire pour prononcer son sermon "Le Christ est mort il y a vingt siècles comme un pauvre, comme un esclave, et Joséphine était une petite-fille d'esclaves..." Une petite-fille qui, le 20 octobre 1925, enfiévrait le Théâtre des Champs-Elysées. Le lendemain, Regnier, chroniqueur de Candide écrivait "C'est alors qu'entre en scène, très vite, un personnage étrange, qui marche les genoux pliés, vêtu d'un caleçon en guenilles, et qui tient du kangourou boxeur, du sem-sem gum et du coureur cycliste... Elle louche, elle gonfle ses joues, se désarticule, fait le grand écart et, finalement, part à quatre pattes, avec les jambes raides et le derrière plus haut que la tête, comme une girafe en bas âge." Mardi dernier, à la Madeleine, les corps constitués saluaient ce "personnage"-là. Pierre Spiers, son accompagnateur, jouait Sonny Boy à la harpe, laissait la place au Requiem de Mozart, puis s'installait aux grandes orgues, d'où s'échappait, transfigurée, solennisée, la petite mélodie de toute une vie J'ai deux amours... Le retour de "la Perle noire" à Bobino Parmi les fleurs, les innombrables fleurs, quatorze couronnes portaient ce simple ruban "Rue de la Gaîté". La rue de la Gaîté avait, en effet, retrouvé prestige et panache depuis que Joséphine y faisait escale. Les boutiques restaient ouvertes jusqu'à l'entracte de la revue, les théâtres voisins recueillaient chaque soir les cent cinquante spectateurs qui n'avaient pu trouver place à Bobino. Bobino, aujourd'hui, bien sûr, porte le deuil. Mais au chagrin se mêle, pudique, un peu de colère. Le dernier hommage que l'on puisse rendre à une belle aventure trop brève, n'est-il pas de raconter la vérité ? La voici. Monaco, août 1974 André Levasseur, ancien modéliste de Christian Dior et décorateur officiel de la Principauté, prépare le gala annuel de la Croix-Rouge monégasque. La villa de Roquebrune-Cap-Martin où Joséphine Baker a trouvé refuge avec ses enfants, après le naufrage des Milandes, lui a été offerte par cet organisme. Ce sera une revue de soixante-dix minutes, la biographie en chansons de Joséphine, qui fera là une somptueuse et éphémère rentrée. Elle apparaît dans une calèche tirée par deux chevaux sur la vaste scène du Sporting d'été 35 mètres d'ouverture, elle n'a jamais été aussi jeune... depuis bien longtemps. La soirée est saluée comme un événement, un enchantement. Il y aura huit représentations supplémentaires, à bureaux fermés. Jean-Claude Dauzonne, directeur de Bobino, et son Jean Bodson, assistent à l'une d'elles. Et si Paris, à son tour, retrouvait Joséphine ? Automne 1974 Jean Bodson décide de financer le projet. Il fut longtemps un sage et important industriel. Mais participa cependant, dans sa jeunesse, à la production de quatre films, dont Les Visiteurs du soir et L'Eternel Retour. Son gendre Gilles Vitry, fils de l'ancien directeur de Bobino, disparu en 1971. C'est donc par alliance que le démon du show-biz, à nouveau, le saisit. Où monter la revue Joséphine ? Bobino ? Trop petit. Jean Bodson propose le spectacle au Casino de Paris. C'est non. Aux Folies-Bergère. Encore non. A Mogador. Toujours non. Personne ne croit au retour de "la Perle noire" prodigue. Ce sera donc Bobino. Personne n'y croyait2 mars 1975 dernière de la série de récitals de Barbara. Les travaux commencent la nuit même. Ils dureront trois semaines. On élargit le plateau, on recouvre la fosse d'orchestre, on construit un proscenium, on aménage les coulisses, on tapisse de miroirs les colonnes du hall, la courbe du balcon. Coût 350 000 Francs. Puis on rajoute soixante-quinze minutes au canevas initial, on engage une troupe de trente-cinq personnes et cinq habilleuses supplémentaires. Les répétitions commencent. Joséphine Baker aux Folies Bergères à Paris en Dauzonne demande alors à la Société des bains de mer de Monaco de lui prêter les costumes déjà réalisés pour le gala. La accepte de les louer 20% de la recette au-dessus de 30 000 Francs. Soit environ 2000 Francs par jour. Une clause de l'accord précise "Si les recettes n'atteignent pas ce palier, la location reste due." La non plus n'y croyait pas. 24 mars 1975 c'est la première. C'est le triomphe. Pourtant, quelques jours plus tard, lorsqu'on s'apprête à enregistrer la "bande originale" de la revue avec la société Musidisc-Europe, un paragraphe du contrat souligne "Si le spectacle ne devait pas connaître soixante représentations consécutives, les frais de promotion de l'album reviendraient à la société Bobino." La maison de disques non plus n'y croyait pas. Délicatesse9 avril 1975 c'est la dernière, et personne ne le sait. Joséphine n'est pas assurée. Négligence ? "Non, affirme Jean-Claude Dauzonne. Délicatesse. Et puis, elle était dans une telle forme, son médecin traitant, le Dr Thireloix, nous le confirmait chaque jour." La troupe, qui a répété quarante-cinq jours et joué dix-sept fois, n'a donc droit à aucun dédommagement cas de force majeure. Jean Bodson a cependant promis de verser aux artistes six jours de cachets supplémentaires... Il a fallu rembourser 370 000 Francs de billets. Les 1032 places du théâtre étaient louées pour un mois et quatre jours... Le déficit est estimé à 2 800 000 Francs. Dans le petit jardin derrière Bobino, on avait construit un hangar pour entreposer les chaussures elles avaient coûté 90 000 Francs et les quatre cents costumes. A quoi tout cela pourrait-il servir désormais ? "Il n'est évidemment pas question de reprendre le show, sous aucune forme, déclare Jean-Claude Dauzonne. Mon contrat avec Joséphine s'est terminé, mardi, à la Madeleine." Jean-Claude Dauzonne ouvre alors la télévision pour voir une dernière fois le reportage des fastueuses obsèques. Soudain, il interroge "Savez-vous qui a réglé les frais de l'enterrement ? Bobino. Sinon, elle serait partie de la chapelle de la Salpêtrière dans une boîte en sapin." Et il ajoute "Lorsque nous avons fini de préciser les détails de la cérémonie, j'ai appelé une responsable de la Croix-Rouge monégasque pouvait-elle nous aider ? 'Pour combien y en a-t-il ?' a-t-elle demandé. J'ai répondu 'Pour 25 000 Francs.' Elle a consulté son conseil d'administration et m'a retéléphoné une demi-heure plus tard 'Nous vous rembourserons 3515 Francs représentant les frais de transport du corps de Mme Baker depuis Paris jusqu'à Monte-Carlo, où elle sera inhumée'." Les projecteurs s'éteignent. Noire est la nuit. Couverture de L'Express n° 1241 du 21 avril Archive choisie par la Documentation de L'Express. Les plus lus OpinionsLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre Assouline
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